Je l’avais annoncé il y a quelques temps sur mon compte Instagram, je prends un moment pour partager avec vous un petit brin d’aventure, et pas des moindres, la recherche de THE imprimante, une expérience aussi réjouissante que pénible et jonchée d’obstacles…
(Vous remarquerez l’effort du teasing !)
Tout commence un soir d’hiver, après un long déménagement…
Je me pose enfin, paisiblement, dans mon nouveau bureau et je mets en place, l’ordinateur et mon imprimante adorée, celle qui partage mon quotidien depuis bientôt 4 ans. Oui mais voilà, la « bête » bien qu’amoureusement emballée et transportée avec soin semble ne pas vouloir fonctionner alors que je lui envoie une mission d’impression…
La bête ronchonne, soupire et fini pas émettre un son strident qui crépite encore avec horreur dans mes oreilles. La « bête » est morte… vive la « bête ».
Je me fais une raison, il me faut réagir rapidement pour ne pas me retrouver bloquer sur mes travaux. Je commence un long chemin de croix, qui s’achèvera par une soumission devant l’adversité. Je réalise que choisir une imprimante est un terrible projet dont, il me semble, je ne sortirai pas triomphante.
Je lance les moteurs de recherches « the best imprimante », « imprimante forever » ou encore « embrasse-moi imprimante » mais je vais de déceptions en déceptions (et cela ne provient pas de ma méthode de recherche !) il semblerait qu’aucune machine ne trouve grâce aux yeux des consommateurs : « trop chère », « trop bruyante », « trop typée » (ah non, ça c’est la vache qui rit) mais « trop lente », ou encore «qualité discutable ».
Je passe de longues soirées arrosées de café à comparer les différents modèles jusqu’à que l’évidence se présente à moi : il me faut me poser les bonnes questions pour trouver LA bonne solution !
Alors ces questions ?
Oui oui les voici, les voici !
De quelle manière allais-je utiliser cette imprimante ?
Pourquoi ?
Quelle qualité en attendais-je ?
Quelle quantité d’impressions allais-je lui soumettre ?
Sur quels points accepterais-je de transiger (bruits, options, etc) ?
En bref, vous remarquerez que les arguments sont presque identiques à ceux pour le choix d’une voiture (vous imaginez le dilemme…)
Bref !
La question principale reste quand même : que va t’on faire de cette imprimante ?
Pour moi il s’agissait d’imprimer quelques docs lambdas, scanner en très haute résolution mais et surtout, imprimer des créations.
Pour le format ? Le A3 s’est imposé très vite
ET la tolérance à des papiers de grammages plus « costaux » et surtout d’une qualité bien supérieure à du 90g.
J’en avais éprouvé une durant plusieurs années (lorsque j’avais mon agence de communication) alors j’ai concentré mon attention sur les modèles EPSON STYLUS.
Ce sont des mini traceurs plébiscités en agence de com. justement notamment pour imprimer les maquettes. Le problème est que ces modèles (possédant généralement 7 cartouches) demandent un investissement financier plutôt conséquent au départ et les consommables (cartouches et papiers) ne sont pas tellement plus abordables.
C’est là, absolument à ce moment là… roulement de tambours… que j’ai sorti… suspens… ma calculatrice ! Pour calculer quoi me direz-vous ? Et bien le coût d’une sortie voyez-vous.
(Oui, je disais que cela avait été long, très long et fastidieux, je n’exagérais pas du tout.)
Et 5h plus tard…
Oui, j’ai réellement passé 5h mis bout à bout pour me décider et j’ai trouvé ! (oh joie ! oh bonheur !)
Mon choix s’est porté sur une imprimante EPSON XP-960. Les retours étaient positifs ceux des photographes pro m’ont particulièrement bien aidé, leur œil affûté demandant une certaine qualité au niveau des rendus couleurs et de la finesse de la trame. Pour savoir où l’acheter, j’ai comparé les prix tout bêtement et j’ai acheté la mienne sur un site revendeur qui rime avec Cadillac, une super promo plus tard et un avantage chez EPSON (remboursement d’une partie de l’imprimante) plus tard, l’affaire était conclue.
Vous trouverez certainement pleins de promos sur le web pour acheter votre « précciieeeeuuuuxxxx » idem pour les consommables.
Et finalement, de mon point de vue, avoir une cartouche par couleur n’est, certes, pas très bon pour la nature au niveau des déchets mais est plus économique par rapport à la consommation de l’encre, plus besoin de changer la grosse cartouche de 4 couleurs parce que vous avez vidé le noir.
NB : EPSON a développé aussi la gamme EcoTank pour une économie importante sur les tirages ET comme il est possible de remplir soi-même les cartouches = moins de déchets !
Alors elle donne quoi au final cette petite bête ?
J’en suis à mon second trimestre d’utilisation et cette petite merveille m’apporte ENTIÈRE satisfaction !!!
Qualité d’impression : pas de trame, des couleurs chatoyantes et très fidèles par rapport à ce que j’ai sur mon écran d’ordinateur calibré et ma tablette (luminosité saturée sur la photo).
Vitesse : rien à redire même sur un format A3+ (oui parce que mon imprimante Zorro qui surgit hors de la nuit peut imprimer la totalité d’une page A3)
Bruit : j’arrive encore à entendre la musique qui passe donc je dirais que, ça aussi, ça me convient.
Oui mais, elle a quand même quelques défauts ?
Mais bien sur ! Elle prend de la place mais ça c’est normal pour une imprimante A3…
Elle est noire, ce qui jure un peu avec la déco de mon bureau (rire)
Quoi d’autre ? Ah oui ! Messieurs les constructeurs de superproduitshihgtech, pourriez-vous envisager 2 petites secondes qu’il existe encore quelques foyers où la fibre n’est pas encore chose acquise, que la box internet ne fait pas forcément son boulot de wifi et que nous avons pour certains encore la nécessité de se connecter en filaire imprimante vs ordinateur ?
Oui parce que maintenant, sachez-le, la plupart des imprimantes sont vendues sans câble donc si par malheur vous avez encore l’ADSL ET que vous avez eu la bonne idée de mettre dans 2 pièces différentes l’imprimante et l’ordinateur et bien… Bonne chance !
Pour le reste Merci EPSON !
NB : cet article n’est pas sponsorisé ou influencé par un partenariat avec la marque 😉